Contactez Maître Alexandre Farelly
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L'avocat est un professionnel du droit, un auxiliaire de justice, qui a prêté serment de défendre. Face à l'injustice que représente un événement de vie tel qu'un accident ou une agression, la victime doit pouvoir être épaulée et guidée. C'est la mission première du Conseil expert en droit du dommage corporel.
Formé et diplômé pour défendre les droits des victimes en recherchant l'indemnisation de leurs préjudices corporels, l'avocat de victime a pour mission : d'expliquer, rassurer, accompagner et se battre pour qu'une victime puisse faire face à l'épreuve du procès, ainsi que pour rééquilibrer les forces en présence lorsqu'elle est opposée à un assureur dans un cadre amiable.
Car une compagnie d'assurance, même si vous êtes son client depuis des décennies, agira prioritairement pour défendre ses propres intérêts financiers et non les vôtres.
Que vous soyez victime d'un accident de la circulation routière en qualité de piéton par exemple (obligeant en application de la loi BADINTER l'assureur du véhicule fautif à vous contacter pour vous indemniser) ou en qualité de conducteur de votre véhicule (dans ce cas votre propre assurance se rapprochera de vous en exécution d'une convention inter-assureurs dite convention IRCA), votre interlocuteur vous orientera vers des médecins experts qu'il rémunère - et surtout qu'il forme - pour vous proposer ensuite une indemnisation inférieure à la réparation à laquelle vous avez droit.
L'avocat formé en droit du dommage corporel veille à vous protéger des pièges qui vous attendent et vers lesquels vous serez poussé par ceux-là même qui devront vous indemniser.
L'effet concret et quantifiable se matérialise par l'obtention, grâce à l'avocat, d'une meilleure indemnisation que celle qui aurait été versée sans l'accompagnement d'un professionnel du droit.
Cette vérité je l'ai personnellement vérifiée à l'occasion de la première victime que j'ai défendue. L'indemnisation proposée par l'assureur adverse était limitée à 20.000€ au titre de son préjudice d'affection. La transaction finale s'est soldée par le versement de 60.000€ de dommages et intérêts. Celle-ci représentait le cumul du préjudice d'affection tel que négocié en y ajoutant les frais divers supportés que l'assureur avait, volontairement ou non, cherché à ignorer.
Les honoraires d'assistance et de conseil facturés ont été partiellement pris en charge par l'assureur en prime. L'honoraire de résultat quant à lui est apparu modeste au regard de la multiplication par 3 de l'indemnité finale (pour plus d'informations sur ce point je vous invite à prendre connaissance de la page du site correspondante : Les honoraires).
L'avocat peut encore renverser juridiquement une situation mal engagée. Comme dans l'hypothèse d'un refus d'indemnisation ou encore si votre adversaire (assurance, auteur, Fonds de Garantie) vous oppose une faute pour exclure voire seulement minorer vos indemnités.
Sur ce point encore l'intervention d'un conseil sera déterminante pour vous aider à préparer votre recours devant le Juge et forcer l'adversaire à vous indemniser, ou pour démontrer l'absence de faute opposable. En matière d'accident de la route on retrouve très souvent cette situation : un assureur n'hésite pas à opposer aux ayants-droit d'une victime sa prétendue faute pour minorer leurs indemnités.
L'enjeu n'est pas seulement pécunier, surtout dans les hypothèses d'homicides (volontaires ou involontaires/non intentionnels) où cette question accessoire relève par définition du symbole. Chaque affaire, chaque situation est singulière. Comparaison n'est donc pas raison. Mais chaque situation mérite d'être étudiée avec rigueur.
Par son expérience, son indépendance et sa connaissance des règles, l'avocat vous épaule, vous rassure, et porte pour vous le poids du combat juridique afin que vous puissiez vous concentrer sur ce qui compte bien plus que l'argent : votre guérison. Ou, dans le cas malheureusement de séquelles permanentes : la construction d'une nouvelle vie malgré le handicap.
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"L'avocat est le premier acteur, en ce que sa présence, nécessaire aux côtés de la victime à chacune des étapes de la phase judiciaire, est également fortement souhaitable lorsqu'une transaction est proposée par l'auteur responsable ou par l'assureur de ce dernier" (LE ROY, M., LE ROY, J., BIBAL, F., GUEGAN, A. (2022).
L'évaluation du préjudice corporel, LEXISNEXIS, Préface à la 19e édition par Monsieur Jean-Pierre DINTILHAC, Président de chambre honoraire à la Cour de cassation, p.XV)
Et bien sûr, à chaque étape, veiller à vous expliquer les tenants et aboutissants pour que vous restiez acteur de ce véritable votre combat qui s'inscrit dans la durée. En moyenne 2 à 3 ans à compter du fait générateur. Autrement dit de l'accident ou de l'agression.
Et potentiellement bien davantage en raison de la gravité de vos séquelles (ex : pseudarthrose, traumatisme crânien, paraplégie, tétraplégie, état pauci-relationnel etc.) ou de votre âge (ex : fracture comminutive proche d'une articulation chez l'enfant).
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